Page 52 - Livre électronique des RFTP 2025
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une augmentation de 1 °C de la température moyenne (β = –0,03 ; p = 0,009) était

               corrélée à une réduction de 3% du risque d’asthme allergique (OR = 0,97 ; IC95 % =
               [0,95–0,99]). La vitesse du vent présentait également une association marquée (β =
               –0,1 ; p < 10–3), indiquant une diminution de 10 % du risque d’asthme allergique pour
               chaque augmentation de 1 km/h de la vitesse du vent (OR = 0,9 ; IC95 % = [0,87–
               0,93]). L’humidité relative moyenne n’a pas montré d’effet significatif sur la survenue
               de l’asthme durant cette saison.

               Conclusion : L'influence du changement climatique sur l’épidémiologie de l’asthme
               demeure un sujet de débat. Des recherches complémentaires sont nécessaires
               pour mieux comprendre l’impact d’autres facteurs environnementaux, tels que la
               pollution atmosphérique et les modifications de la flore, sur l’évolution de cette
               pathologie.
































































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